N1M. Amiens/CPB Rennes, samedi 20h. Pour son dernier match de la première phase, la Team CPB devra obligatoirement s’imposer pour espérer aller en Play-Offs. Dans le même temps, il faudra espérer une victoire de Vernouillet face à Gonfreville. On fait le point avec Maël Saulnier.

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On arrive à la fin de la première phase, quel bilan peux-tu faire sur cette première partie ?

Le bilan est très positif, on a eu une belle série de victoires qui nous ont fait du bien au moral, comme au classement. Cependant on a eu un petit trou d’air après la fête (sans doute dû a un excès de foie gras) mais la victoire du weekend dernier a permis de re-mobiliser les troupes je pense, en plus l’intensité du match nous a préparés au choc à venir.

Vous affrontez Amiens pour ce dernier match. Une victoire de votre part conjuguée à une défaite de Gonfreville vous offre les play-offs, comment abordez-vous ce match ?

On aborde le match avec beaucoup de sérieux. On se doit de gagner si l’on veut pouvoir défendre crânement nos chances d’aller en play-off. De mon point de vue l’important, c’est de se concentrer sur nos performances à nous, c’est le seul facteur sur lequel on peut influer désormais.

La victoire contre Vernouillet vous a t-elle permis de retrouver de la confiance ?

Comme je le disais précédemment la victoire de la semaine dernière fait du bien, mais vous avez pu le voir, on n’a pas sauté de joie et été totalement euphorique, on savait que ce match nous remettait en bonne position, mais l’important, c’était le match contre Amiens.

On sent à travers ce groupe, une vraie force collective, est ce un réel levier pour aller chercher la victoire ?

Oui, clairement, la force de notre groupe vient du fait que l’on ne joue pas avec « des gars du hand » mais vraiment avec des copains, on est très soudé ce qui se ressent dans le secteur défensif où l’on ne laisse jamais l’autre en mauvaise posture. De plus, on a un banc qui est soudé qui pousse vraiment les gars sur le terrain à se démener, qui les encouragent, tout le monde est à fond même quand il ne joue pas : à l’image de Thomas qui était dans les tribunes et donnait des conseils à Antoine, deux joueurs au même poste qui se conseillent et s’entraident l’un l’autre, c’est ça l’esprit cercliste : le collectif avant l’individuel.

Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi ? Que fais-tu en dehors du hand ?

Et bien, cette année, je prépare un concours pour devenir enseignant en EPS. C’est vraiment dur au niveau des cours, heureusement les copains du hand sont là pour remonter le moral et changer les idées.